“Ce n’est pas seulement une question de loi, mais aussi de respect et de sécurité pour celles et ceux qui nous aident au quotidien.”
Le travail au noir désigne tout emploi non déclaré aux autorités : absence d’annonce à la caisse AVS, non-paiement des cotisations sociales, absence d’assurance accident ou emploi sans permis de travail valable.
Le site officiel du canton de Genève est clair : “Embaucher sans déclarer, c’est du travail au noir.”
Cela concerne directement les aides à domicile : femmes de ménage, jardiniers, auxiliaires de vie, baby-sitters, etc.
Même pour un emploi à temps partiel, l’employeur doit :
déclarer le salaire à la caisse AVS ;
affilier la personne à une assurance accidents ;
appliquer le salaire minimum genevois ;
et, le cas échéant, vérifier le permis de travail.
À noter : une aide-ménagère employée plus de huit heures par semaine doit obligatoirement être couverte par une assurance contre les accidents non professionnels (LAA).
Dans bien des cas, l’intention n’est pas de frauder, mais de “simplifier”.
Certains pensent que pour deux ou trois heures de ménage hebdomadaire, “ce n’est pas grave”. D’autres craignent la paperasse ou veulent éviter les charges sociales.
Mais cette fausse facilité a un coût : un simple accident domestique peut se transformer en cauchemar juridique et financier.
“Ce qui semblait être un petit arrangement peut vite devenir une très grande erreur.”
Les conséquences sont lourdes — et souvent méconnues.
Le travail au noir est puni par la loi : à Genève, les particuliers comme les entreprises s’exposent à des amendes élevées et, dans les cas graves, à une peine de prison pouvant aller jusqu’à un an.
L’employeur devra s’acquitter des cotisations AVS/AI/APG non versées, pour lui et pour la travailleuse, parfois sur plusieurs années.
Si la femme de ménage se blesse chez vous, et qu’aucune assurance n’a été souscrite, tous les frais médicaux et d’indemnisation peuvent retomber sur vous personnellement.
“Un simple glissement dans un escalier mouiller peut coûter des dizaines de milliers de francs.”

Travailler au noir ne protège personne — pas même la personne employée.
Aucune cotisation AVS ou AI : donc pas de droit à la retraite, ni à l’assurance invalidité ou chômage.
Aucune assurance accident.
Aucun recours légal en cas de litige ou de licenciement abusif.
Et, pour les personnes sans titre de séjour, le risque d’expulsion immédiate.
“Le travail au noir, c’est la double peine : pas de protection pour celle qui travaille, et pas de sécurité pour celui qui emploie.”
Même si le canton de Genève lutte activement contre le travail non déclaré, le phénomène reste massif à l’échelle nationale.
L’économie souterraine représente environ 6,9 % du PIB suisse.
On estime à 427 000 le nombre de personnes travaillant au noir en Suisse, dont 63 000 travailleurs étrangers illégaux.
Dans le secteur du ménage, près de 75 % des emplois seraient non déclarés, soit environ 232 500 personnes.
Et Genève figure en tête des cantons concernés :
En 2025, 93 des 99 cas recensés sur la “liste noire” du SECO concernaient le canton de Genève.
La République et Canton de Genève a mis en place une politique stricte de contrôle et de sensibilisation.
Des inspecteurs spécialisés mènent des enquêtes dans les secteurs à risque : nettoyage, restauration, et emplois domestiques.
Mais malgré cette vigilance, le travail au noir reste courant dans les foyers privés, notamment parce que les particuliers ignorent souvent qu’ils sont considérés comme employeurs à part entière dès la première heure de travail.
Pour éviter toute complication, il existe des solutions simples et légales.
À Genève, Ecodom Services propose l’emploi d’aides-ménagères entièrement déclarées et assurées, selon le droit suisse.
Toutes les cotisations sociales sont versées.
L’assurance accident est incluse.
Et les clientes peuvent bénéficier d’une déduction fiscale sur les frais de ménage.
Choisir Ecodom, c’est la garantie d’un service professionnel, transparent et éthique — pour que le confort du foyer ne rime jamais avec l’illégalité.
Employer une femme de ménage au noir peut sembler anodin. En réalité, c’est une prise de risque majeure : amendes, poursuites, absence de couverture, injustice sociale.
Déclarer, c’est protéger : sa maison, sa conscience, et la personne qui la fait briller. “Ce qui coûte cher, ce n’est pas de respecter la loi ; c’est de penser qu’on peut s’en passer.”
Sources
GE.ch – Respecter ses obligations pour éviter le travail au noir
Watson.ch – Genève, meilleur élève contre le travail au noir (avril 2025)
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Pour un foyer propre — et une conscience tranquille.
Rue du Pré-Jérôme 5
1205 Genève
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Téléphone: 058 776 75 06
