Environ 310 000 personnes travaillent dans le nettoyage en Suisse, dont près de 75 % au noir — soit plus de 230 000 travailleurs non déclarés. Ces chiffres montrent à quel point l’économie domestique repose encore sur un système parallèle, où la majorité des travailleurs échappent à toute protection sociale. Et pourtant, le travail domestique est un service essentiel : sans lui, beaucoup de foyers ne pourraient pas concilier vie familiale et professionnelle.
“Le travail domestique n’est pas un privilège, c’est une infrastructure sociale invisible.”
Pour beaucoup de travailleuses, accepter un emploi non déclaré est une nécessité : manque d’options, peur de perdre un revenu, barrière de la langue, ou statut administratif précaire.
Mais les conséquences sont lourdes :
Aucune cotisation AVS/AI → pas de retraite, pas d’assurance invalidité, pas de chômage.
Pas d’assurance accident → une blessure peut ruiner une vie.
Pas de sécurité juridique → congédiement du jour au lendemain, sans recours.
Le site officiel du canton de Genève rappelle que “le travail au noir met en péril le principe de solidarité sur lequel repose notre système d’assurances sociales”.
“Le travail au noir n’enlève pas que des cotisations : il enlève des droits.”
Derrière les chiffres se cache une réalité silencieuse : des milliers de femmes, souvent étrangères, travaillent dans des conditions précaires, sans congés payés, sans assurance, parfois sous-payées.
Elles sont à la fois indispensables et invisibles.
Ne pas régulariser ce travail, c’est entretenir une inégalité structurelle : celles qui nettoient les foyers suisses n’ont pas droit à la même sécurité que celles qui y vivent.
“Ce n’est pas la poussière qu’il faut balayer, c’est l’injustice.”

Déclarer une aide-ménagère, c’est protéger à la fois la travailleuse et l’employeur :
Les cotisations sociales assurent une retraite et une couverture en cas d’accident.
L’assurance responsabilité protège l’employeur.
Le revenu devient stable, traçable et digne.
Mais c’est aussi un levier économique positif : plus de transparence, plus de recettes fiscales, plus de sécurité.
Et contrairement aux idées reçues, les démarches ne sont ni complexes ni coûteuses, surtout quand elles sont accompagnées par des structures spécialisées.
À Genève, Ecodom s’engage activement dans la lutte contre le travail au noir en proposant un modèle 100 % légal et éthique.
Chaque collaboratrice est déclarée, assurée et rémunérée selon la loi genevoise.
Pour les clients, cela signifie :
aucun risque administratif ou fiscal,
un service professionnel,
et la possibilité de déduire fiscalement les frais de ménage.
“Régulariser, c’est donner de la valeur à un métier qui en a déjà tellement.”
Ecodom ne se contente pas d’offrir du ménage : elle redonne une existence sociale et une reconnaissance légale à celles qui rendent nos foyers plus vivables.
Le travail domestique est au cœur du bien-être collectif. Le régulariser, c’est reconnaître la contribution de milliers de femmes qui participent, dans l’ombre, à l’équilibre de nos vies.
À Genève, choisir la légalité, ce n’est pas seulement respecter la loi : c’est participer à un changement de culture, vers plus de respect, d’équité et d’humanité.
“Quand on déclare, on ne fait pas qu’un geste administratif : on pose un acte de justice.”
Sources
GE.ch – Respecter ses obligations pour éviter le travail au noir
Watson.ch – Genève, meilleur élève contre le travail au noir (2025)
Confiez votre ménage à Ecodom, le service genevois 100 % légal, déclaré et éthique.
Pour un foyer propre — et une conscience tranquille.
Rue du Pré-Jérôme 5
1205 Genève
Mail: contact@ecodomservices.ch
Téléphone: 058 776 75 06
